Peinture d’un calamar, silhouette fluide venue des profondeurs. Mais en s’approchant, on découvre que son corps est habité, chaque courbe dissimule un regard. Un monde intérieur en mouvement, un être étrange qui, dans le silence de l’encre, murmure mille portraits.
peinture acrylique sur toile 28×76
Fluorescence